La recherche participative.
La recherche participative constitue un exemple de politique publique de recherche qui permet de contrebalancer les politiques actuelles quasi exclusivement orientées vers l’encouragement de partenariats entre recherche publique et firmes privées.
La recherche participative a vu le jour au Canada avec le programme ARUC (Alliances de Recherche université – communauté) (le terme anglo-saxon “Communauté” recoupe à la fois le monde associatif et les collectivités locales). Ce programme a été lancé en 1999 par le Conseil de Recherche en Sciences sociales et humaines (CRSH), qui est l’agence fédérale qui finance la recherche dans les sciences humaines au Canada. Il est dirigé par un Conseil de 22 membres. La décision du CRSH de lancer ces ARUC fut très favorablement accueillie tant par les groupes communautaires que par les universités. Depuis, plusieurs dizaines de projets ont été soutenus. Le CRSH a environ un budget de 4 millions de dollars par an pour les ARUC.
Le programme a pour objectif d’appuyer la création d’alliances entre les universités et les organisations de la société civile qui, par un processus axé sur la collaboration continue et l’apprentissage mutuel favorisent la recherche novatrice, la formation et la création de nouvelles connaissances dans des domaines importants pour le développement social, culturel ou économique des communautés canadiennes.
Les ARUC ont été les inspiratrices en France des projets PICRI — Partenariats entre Institutions et Citoyens pour la Recherche et l’Innovation — mais en place depuis 2005 par la Région Ile-de-France sous l’impulsion de Fondation Sciences Citoyennes (http://sciencescitoyennes.org)
Plus récemment, la Région Bretagne a mis en place les projets ASOSC (Actions pour l’Appropriation Sociale des Sciences), dont l’objectif clairement affiché est d’ « intégrer une démarche d’échange et de concertations entre chercheurs, acteurs socio-économiques et citoyens dans le développent des dispositifs locaux de recherche et d’innovation, pour que le développent de la recherche s’inscrive ainsi davantage dans une perspective globale de développement durable, garantie de l’amélioration de l’équité sociale, de l’efficacité économique et de la protection de l’environnement ».
La recherche participative a vu le jour au Canada avec le programme ARUC (Alliances de Recherche université – communauté) (le terme anglo-saxon “Communauté” recoupe à la fois le monde associatif et les collectivités locales). Ce programme a été lancé en 1999 par le Conseil de Recherche en Sciences sociales et humaines (CRSH), qui est l’agence fédérale qui finance la recherche dans les sciences humaines au Canada. Il est dirigé par un Conseil de 22 membres. La décision du CRSH de lancer ces ARUC fut très favorablement accueillie tant par les groupes communautaires que par les universités. Depuis, plusieurs dizaines de projets ont été soutenus. Le CRSH a environ un budget de 4 millions de dollars par an pour les ARUC.
Le programme a pour objectif d’appuyer la création d’alliances entre les universités et les organisations de la société civile qui, par un processus axé sur la collaboration continue et l’apprentissage mutuel favorisent la recherche novatrice, la formation et la création de nouvelles connaissances dans des domaines importants pour le développement social, culturel ou économique des communautés canadiennes.
Les ARUC ont été les inspiratrices en France des projets PICRI — Partenariats entre Institutions et Citoyens pour la Recherche et l’Innovation — mais en place depuis 2005 par la Région Ile-de-France sous l’impulsion de Fondation Sciences Citoyennes (http://sciencescitoyennes.org)
Plus récemment, la Région Bretagne a mis en place les projets ASOSC (Actions pour l’Appropriation Sociale des Sciences), dont l’objectif clairement affiché est d’ « intégrer une démarche d’échange et de concertations entre chercheurs, acteurs socio-économiques et citoyens dans le développent des dispositifs locaux de recherche et d’innovation, pour que le développent de la recherche s’inscrive ainsi davantage dans une perspective globale de développement durable, garantie de l’amélioration de l’équité sociale, de l’efficacité économique et de la protection de l’environnement ».